C’est un fait connu, tout le monde peut se proclamer graphiste depuis que les logiciels de dessin sont disponibles sur tous les ordinateurs, tablettes et autres téléphones intelligents. Il arrive même que des pseudographistes réussissent à convaincre des clients un peu trop naïfs de leur confier un mandat graphique. S’ensuit immanquablement un design malheureux, dont le ratage finit par nuire à celui qui l’a payé. Quand le client dispose d’une grande visibilité, comme c’est le cas du TPS, cet amateurisme peut devenir gênant.