En design graphique, l’important n’est pas de participer.
C’est connu : organiser des Jeux olympiques, c’est fatigant, ça coûte cher, ça fait des jaloux et ça laisse les villes hôtes avec un paquet de désillusions, de promesses non tenues et de structures vouées à l’abandon.
Un autre risque est à considérer : celui de rater son logo.
C’est que des milliards de regards se tournent vers vous, déterminés à recevoir une première dose d’émerveillement avant la grand-messe. Le logo doit faire rêver. Et avec les grandes attentes viennent les grandes responsabilités, ou quelque chose comme ça.
Pourtant, l’histoire récente des JO est parsemée de logos mal foutus.
État des lieux.